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Le paradigme qui perturbe notre potentiel de longévité

« L’éternité, c’est long… surtout vers la fin » »    Woody Allen

Notre potentiel de longévité est directement lié au paradigme auquel nous nous attachons.

Les deux grands paradigmes de notre destinée

Concernant notre destinée, il existe deux grands paradigmes : le premier est que tout est déjà écrit, notre destin est tracé et rien ne sert de créer puisque inévitablement ce qui doit nous arriver, arrivera. Dans ce paradigme nous sommes comme un personnage de roman ou un rôle dans un film où seul l’auteur ou le metteur en scène connaît l’histoire du début à la fin.

Dans le second paradigme tout est à écrire, notre futur dépend uniquement des choix que nous faisons à chaque instant. D’ailleurs des romans et des films ont été réalisés d’une manière interactive dans le sens où le lecteur ou le spectateur pouvait choisir à un moment du livre ou du film une voie spécifique et donc une fin différente.

Ces deux paradigmes s’appliquent aussi bien à notre histoire personnelle que collective. Dans les deux cas nous avons une part de créativité qui est la manière dont nous allons vivre chaque événement. Cela va de l’acceptation totale au refus total. Et cela fait une énorme différence.

Ces deux paradigmes semblent donc opposés mais en fait l’un m’empêche pas l’autre et peuvent co-exister.  Il est exact que dans l’instant présent tout est déjà écrit dans le sens où la somme de nos pensées, croyances, convictions agit comme un logiciel qui nous entraîne dans une réalité programmée qui restera inchangée.  Seul chaque nouveau choix va réécrire le logiciel et reprogrammer une nouvelle réalité.

Personne ne peut affecter notre réalité à part nous-mêmes, nous faisons nos choix en fonction de :

► de nos croyances culturelles

► de la compréhension que nous avons acquise

► à partir de nos choix conscients

► d’un mode de fonctionnement par défaut

Notre expérience de vie est entièrement basée sur nos pensées et nos croyances par conséquent personne ne peut être blâmé pour ce qui nous arrive. 

Le paradigme dominant

  Le paradigme dominant est bien sûr celui de notre mortalité certaine que tout le monde sur cette planète  (ou presque) partage. Il n’y a pas de cas de longévité hors norme à notre connaissance même s’il semble y avoir quelques cas isolés en Inde qui ont été rapportés par Leonard Orr fondateur du Rebirth qui dit avoir rencontré plusieurs yogis âgés de plus de 300 ans et le raconte dans son livre  » Le yoga de l’immortalité ». Il y a également le cas de Li Ching Yuen qui aurait vécu 256 ans: cliquer ici

Dans la bible, Genèse V, 3 il est dit que Adam vécu 930 ans, Seth son fils 912 ans, Enoch 950 ans. Dans la Genèse V, 6 et 9 il est dit que Noé vécut 950 ans, Sem, son fils, 500 ans la liste est longue et personne n’a d’explication à ma connaissance pour ces âges très avancés.

Pour faire une comparaison avec d’autres domaines, on se trouve donc dans la situation où à un moment donné personne n’avait marché sur le feu, personne n’avait fait voler un avion ou sauté en parachute et surtout personne n’en avait même eu l’idée. Il est fort possible que si les oiseaux et les insectes volants, qui ont servi de modèle, n’avaient pas existé, personne n’aurait eu l’idée de voler.

20 ans en arrière, personne ne pouvait penser que notre corps pouvait vivre sans manger. Il aura fallu quelques pionniers pour prouver le contraire. (voir la partie sur les croyances)

Plusieurs expériences démontrent qu’en présence d’un terrain ou d’un milieu sain, des cellules peuvent survivre indéfiniment (Travaux d’Alexis Carrel, prix Nobel de biologie).

Et les microzymas immortels (zyma veut dire vie) semblent avoir une capacité d’adaptation extraordinaire pour ce qui est de soutenir la vie, toujours la vie…

Donc nous n’avons peut-être pas encore trouvé la voie de passage pour une plus grande longévité mais ça ne veut pas dire que c’est impossible. Nous baignons dans une vie éternelle mais nous ne sommes pas en mesure de maintenir un état d’équilibre stable.

Dès que nous changeons de paradigme ou de croyance, nous changeons les signaux qui vont ajuster le fonctionnement de nos cellules et des microzymas.

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Limite de Hayflick  – Cohérence Cardiaque – Résilience

La limite de Hayflick

En 1961 un scientifique américain du nom de Léonard Hayflick a découvert que le nombre de divisions que peuvent effectuer les cellules à l’aide des télomères se situe entre 45 et 70 réplications. Ce qui est appelé depuis la limite de Hayflick et cette limite est de 120 ans. Si nous mourrons en général avant, c’est de maladie ou d’accident.

Etrangement, cette limite coïncide avec un texte de la bible Génèse VI, 3 qui dit très clairement ceci: « Alors l’éternel dit: mon esprit ne restera pas toujours dans l’homme, car l’homme n’est que chair et ses jours seront de 120 ans« .

Etrange, étrange… vous avez dit étrange? comme c’est étrange…

La science a déjà mis en évidence que l’alimentation, l’exercice, le sommeil jouait favorablement en faveur de la longévité des télomères. Le stress émotionnel n’est pas encore vraiment étudié ni évalué mais il est probablement le plus actif.

Un article publié dans la prestigieuse revue NATURE titrait récemment : « La télomérase inverse le processus du vieillissement » . Des recherches ont montré que certains aliments comme les oeufs et l’huile de coco favorisaient la production de télomérase de même que certaines vitamines comme la B12, la VIT C et E, le zinc et le magnésium. Ce sont tous des anti-oxydants soit dit en passant… alors la question que je me pose est que si un oeuf à un tel pouvoir, qu’en est-il de l’intention de la conscience? Peu de gens ont orienté leur intention dans ce sens car personne n’a pensé vraiment que c’était possible…

Si le stress émotionne joue un rôle majeur dans l’histoire c’est l’élément le plus important à traiter avec les attitudes excessives et les croyances inadaptées qui activent et maintiennent ce stress oxydant pour les télomères. (revoir l’étape 2 ici )

Cette limite de Hayflick ressemble bien à une horloge biologique dans notre ADN et elle est une piste pour une possible réinitialisation de cette horloge. Et la piste la plus sérieuse est celle de la production de la télomérase qui, si elle était maintenue, permettrait aux télomères d’aller au delà du nombre fatidique et même d’avoir une vie éternelle comme comme nous allons le voir avec ce cas tout à fait spectaculaire:

Les cellules immortelles « HeLa »

L’histoire se passe en 1951, une jeune femme du nom de Henrietta Lacks est atteinte d’un cancer et son organisme au lieu de programmer l’apoptose habituelle, c’est à dire la mort cellulaire des cellules défectueuses, s’est mis pour des raisons inconnues à produire de la télomérase ce qui a eu pour effet de garder toutes les cellules vivantes.

Les cellules défectueuses ont continué de se reproduire et un médecin a eu l’idée de créer une culture à partir des tissus cellulaires de la personne et cette culture qui existe encore aujourd’hui est connue sous le nom de « lignée cellulaire HeLa » pour honorer le nom de leur donatrice. Quelle que soit la raison, encore inconnue à ce jour, le fait est que la cellule ou l’ADN contenu dans la cellule à la capacité de produire cette télomérase, nous en avons une preuve vivante si je puis dire…

La résilience et la longévité

La résilience « c’est la capacité de rebondir après des expériences éprouvantes » c’est « l’adaptation positive face à l’adversité » et elle est reconnue aujourd’hui comme un facteur déterminant dans la longévité. C’est de toute évidence une attitude qui réduit le stress. La résilience plus profonde c’est la capacité de changer et de s’adapter continuellement devant des nouveaux défis et de nouvelles situations et cette capacité nous la développons dans notre coeur.

La cohérence cardiaque

La résilience est tellement concrète qu’il est possible de la mesurer à partir du rythme cardiaque. A partir d’un simple électrocardiogramme on peut déterminer ce qui est appelé « la variabilité du rythme cardiaque (VRC) » et plus la fréquence cardiaque est importante plus notre capacité de résilience l’est aussi.

Le terme de cohérence est utilisé ici pour indiquer que le coeur est en cohérence avec le cerveau. Cette cohérence est naturelle mais elle se trouve affaiblie par le stress. En réduisant notre stress, nous remettons de la cohérence cardiaque et nous augmentons notre capacité de résilience et donc notre longévité.

Les scientifiques de l’institut HeartMath ont développé un exercice en trois étapes pour la résilience personnelle et leur approche est intéressante car elle touche un point vital à savoir l’importance que l’on accorde aux évènements. Et cette importance est déterminée par des attitudes excessives et des croyances limitantes

(revoir étape 2 ici)

Exercice de cohérence cardiaque (5 minutes)

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Et si on parlait d’immortalité?

« Les gens vieillissent et meurent parce qu’ils voient les autres vieillir et mourir »  Shankara, un grand sage de l’Inde qui a vécu il y a plusieurs milliers d’années

Mourir serait donc  juste une mauvaise habitude… Nous sommes immortels de naissance et nous devenons mortels par erreur. 

Pourquoi me direz-vous choisir comme objectif l’immortalité et pas la longévité ou tout simplement une belle vitalité?

Parce que nous n’activons pas les mêmes choses. Lorsque nous entreprenons un projet, nous créons et mobilisons en même temps l’énergie dont nous allons avoir besoin. Décidez de grimper la colline du coin puis décidez de grimper le Mont Blanc, vous allez voir la différence d’énergie à votre disposition.

Et si l’immortalité physique fait partie de notre programme biologique, nous allons activer des fonctions qui ne seront pas les mêmes que si nous visons une belle vitalité. Alors n’ayons jamais peur de voir grand!

L’immortalité physique est un sujet dont on parle depuis quelques années avec notamment l’apparition du mouvement transhumaniste qui a pour vision de prolonger la vie en utilisant les nanotechnologies pour la réparation cellulaire ou le remplacement cybernétique d’organe, bref la création d’un homme « augmenté » qui deviendra progressivement une machine artificielle… bon pourquoi pas, c’est sûrement un juteux business en perspective mais ce n’est pas cette voie qui m’intéresse… vous l’aurez compris c’est la voie de la conscience et de l’intelligence du corps…

Mais la première question légitime c’est pourquoi s’intéresser à l’immortalité physique alors que nous sommes déjà si nombreux sur la planète? Dans une société qui n’est pas du tout prête pour ce genre de réalité? Et individuellement est-ce j’ai vraiment envie de devenir physiquement immortel?

En ce qui me concerne, j’aime avoir le choix et je trouve intéressant de sortir des schémas établis, d’explorer de nouvelles sensations physiques et émotionnelles, notamment de pouvoir ressentir cet état d’équilibre au diapason avec le continuum sans fin de la vie…

J’en ai eu une toute petite saveur à travers une expérience que j’ai faite il y a quelques années où j’ai jeûné pendant une quinzaine de jours. Au bout du douzième jour, j’ai ressenti cet équilibre bien particulier où mon organisme pouvait manger ou ne pas manger, il n’y avait ni manque ni désir, juste un équilibre parfait qui avait ce petit goût d’éternité…

Si je n’ai pas forcément envie de devenir physiquement immortel, en tout cas pas pour l’éternité, c’est aussi que je n’ai aucun doute sur l’immortalité de la conscience, j’ai eu plusieurs expériences, dont la première à l’âge de 10 ans, qui m’ont fait vivre un état d’expansion de conscience totalement séparé de mon corps physique. Ces expériences m’ont ôté toute peur de la mort et m’ont laissé un goût d’aventure… quand le bon moment sera venu…

Avoir le choix est un tel luxe…

Donc si le défi est intéressant la question qui se pose maintenant c’est de connaître les étapes qui permettraient d’atteindre ce point d’équilibre.

Sachant que nous partons dans cette aventure en étant au minimum en bonne condition physique et émotionnelle, avec une bonne dose d’appréciation pour la vie (sinon à quoi bon.. ) il y a trois points qu’il me semble important d’aborder et sur lesquels nous pouvons progresser au quotidien pour élever nos vibrations car c’est bien de quoi il s’agit ici, plus nos cellules auront une vibration élevée plus elles seront proches de cet état d’équilibre en question.

Je partagerai donc bientôt sur cette page les expériences les plus pertinentes que je mène en ce moment sur ce sujet.

NOTE : Le modèle quantique nous informe que toute maladie correspond à un abaissement ou une diminution de fréquence. Ralentir la fréquence correspond à devenir plus particule donc plus matière. Une fréquence plus élevée correspond à devenir plus onde donc plus énergie. Plus le corps devient matière et moins il est énergie, plus il sera à la merci de la deuxième loi de la thermodynamique que l’on appelle la loi de l’entropie. La loi de l’entropie postule que les systèmes organisés, abandonnés à eux-mêmes, tendent à devenir avec le temps instables et désorganisés. Ce qui se vérifie dans les faits.

Nous avons d’un côté notre propre énergie et de l’autre il y a l’énergie de la vie qui anime cet univers en perpétuel mouvement et qui nous traverse. Cette énergie est nommée de différentes manières: le chi, l’ether, le prana, le mana …

Il est fort possible qu’à la naissance nous soyons accordé naturellement à l’énergie de la vie mais comme nous n’apprenons pas à cultiver cette énergie nous quittons progressivement ce lieu et nous devenons instables et désorganisés comme le décrit très bien la physique quantique.

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Que pouvons-nous faire ou être pour réaccorder notre énergie sur celle de la vie?

Lorsque nous commencerons à sentir un petit goût d’éternité, nous saurons que nous sommes sur la bonne voie…

Les trois points sur lesquels nous pouvons agir :

1. Se dégager des croyances qui invalident la vie

2. Cultiver l’état d’appréciation et de gratitude

3. Rechercher l’état d’unité

Voyons chaque point en détail:

1. Se dégager des croyances qui invalident la vie : chaque fois que nous nous retrouvons dans un état de pensée morbide ou tout état qui ne va tout simplement pas dans le sens de la vie, nous devrions faire tout notre possible pour localiser la croyance responsable. Quel que soit le moyen que nous utilisons, j’en ai donné un dans la partie 2 du livre, une fois que vous l’avons trouvée, renvoyons là d’où elle vient…

Toute l’idée est de ne plus avoir d’interférence, ni distorsion, ni interprétation entre nous et la vie qui nous traverse. Chaque jour, prenons un moment pour faire le point sur cette étape. Avec un peu de pratique, nous allons devenir expert (e) en repérage des informations qui modifient notre énergie et nourrissent notre biologie. Et à moins que nous en ressentions le besoin et que cela nous soutienne, il n’est pas nécessaire d’installer une nouvelle croyance pour remplacer l’ancienne.

2. Cultiver l’état d’appréciation et de gratitude : l’appréciation est un état de joie pour ce que l’on a ou ce que l’on est. L’appréciation peut être aussi ressentie pour quelqu’un ou quelque chose… un chant d’oiseau, une pomme ou les étoiles…

Si notre tendance est plutôt de pointer ce que l’on a pas ou ce que l’on est pas, pointer ce que nous apprécions va modifier notre énergie et notre vitalité.

La gratitude est un état de reconnaissance dans lequel s’exprime l’appréciation et la gentillesse. Si notre tendance est à l’insatisfaction, mettre en valeur ce pourquoi nous ressentons de la gratitude va également élever nos vibrations. Chaque matin ou chaque soir ou les deux trouvons plusieurs choses pour lesquelles nous ressentons de la gratitude et de l’appréciation. Trouvons un marqueur physique de notre vitalité afin de pouvoir mesurer nos progrès… quand je monte quotidiennement les escaliers, la façon dont je les monte est un marqueur, je peux comparer avec la façon dont je les montais la veille ou la semaine précédente…

Voici un exercice que vous pouvez pratiquer régulièrement pour augmenter votre énergie. Si vous choisissez un objet vous allez capter ce que vous ressentez à son sujet. Est-ce qu’il vous fait du bien ou pas? Est-ce qu’il vous attire ou au contraire vous repousse? Dans cet exercice, vous allez choisir uniquement des objets qui attirent votre attention et qui ont une impression positive sur vous. Observez l’objet sous différents points de vue et imaginez des interactions positives que vous pourriez avoir avec cet objet. Elevez votre appréciation pour cet objet et prenez plaisir à cette sensation. Faites cela avec d’autres objets, personnes, animaux, plantes réelles ou en imagination…

3. Rechercher l’état d’unité : l’état d’unité est cet état que nous pouvons trouver à travers la plus haute qualité de notre présence. Notre tendance principale est de vouloir tout diviser. Nous divisons les expériences en bien ou en mal, les personnes en bonne ou en mauvaise et nous faisons la même chose pour nous mêmes, il y a du bon et du mauvais en nous… ce qui veut dire que nous avons des filtres entre notre présence et l’existence.

La présence est cet état recherché à travers les exercices de méditation. Il y a tellement de sortes de méditation que je ne vais pas utiliser ce terme d’autant que l’exercice (tant que ce n’est pas un état stable ça reste un exercice) que je propose peut être pratiqué assis, debout, allongé, en marchant, en courant, en dansant… choisissez la forme qui vous convient le mieux…

Etre présent n’est pas une action, ça ne demande aucun effort de volonté… juste présent à ce qui est.

L’erreur la plus courante serait de vouloir rechercher un état comme « la paix de mon mental » par exemple. Ce qui n’est tout simplement pas possible, le mental par définition n’est jamais en paix. Donc il est tentant de vouloir contrôler ce qui se passe. La deuxième erreur c’est de réprimer, les émotions en particulier, et quand on réprime on solidifie et au lieu de la félicité on obtient de la stupidité…

Exprimez, libérez ce qui doit l’être de la manière que vous voulez, sans nuire ni blesser autrui. Que ce soit de la colère ou du chagrin faites en sorte de libérer cette énergie et surtout pas de la réprimer. Donc la présence consiste à rester conscient, quoi qui se passe, sans intervenir, sans juger, ni interpréter. C’est le moyen de s’installer en soi, au coeur, au plus profond de notre être.

Un fois que nous avons trouvé le centre de notre existence, nous trouvons à la fois des racines et des ailes. Les racines sont ancrées dans l’existence et font de nous des êtres intégrés. Les ailes ce sont ces parfums qui s’y libèrent sous forme de liberté, d’authenticité, de compassion et du sens de l’humour…

Faisons en sorte que chaque jour qui passe nous allège d’une croyance qui nous tirait vers le bas, faisons en sorte que chaque jour nous ayons un peu plus d’appréciation et de gratitude pour les choses de ce monde et nous serons tirés vers le haut et faisons en sorte que chaque jour notre présence soit de plus en plus en prise directe avec l’existence et lorsque nous commencerons à sentir un petit goût d’éternité, nous saurons que nous sommes sur la bonne voie…

(La limite de la pensée positive s’explique très clairement: disons que vous apprenez que vous avez une maladie et cela vous effraie. Dire ou penser « je vais surmonter cette maladie » ne sert à rien car ce que vous dites ne correspond pas aux émotions présentes (la peur) tout simplement. Par contre changer l’état émotionnel en ressentant par exemple de la gratitude, votre corps comprend qu’il reçoit quelque chose, la signature émotionnelle de la gratitude signifie que c’est là, c’est arrivé, et c’est ce type de signal qui pousse notre corps à fabriquer les cellules nerveuses qui établissent les connexions pour que la chimie du cerveau provoque la guérison. C’est donc important que la pensée soit en accord avec les émotions pour qu’un processus de création puisse être initié.)

Certaines espèces semblent avoir résolu le problème… 

Méduse Turritopsis nutricula

D’après des recherches scientifiques la méduse Turritopsis nutricula est capable de reconfigurer ses cellules défaillantes en cellules neuves et parfaites. (Variété de méduse immortelle)

Hydra

Hydra est l’un des nombreux organismes qui sont immortels. Il n’a pas de limite à sa division cellulaire et il n’a pas non plus de plan de vieillissement. 

Olivier crétois

Olivier en Crête, 3000 ans et donne toujours des olives…

Herbier de posidonie

vivant depuis 80.000 à 200.000 ans, au large de l’île Formentera, dans les Baléares.

Séquoia de Californie

Le plus vieux des séquoias âgé de 3200 ans.

J’ai pu voir cet arbre impressionnant de vigueur pour son âge. 75 mètres de hauteur et 8 mètres de diamètre. 

Le Bristlecone Pines est un pin que l’on trouve au Nevada et qui approche les 5000 ans.

Les deux derniers « Senators » vivants que j’ai pu voir aussi sont au  parc de Longwood en Floride. Le plus vieux a 4500 ans et le plus jeune 3500 ans. Ces arbres étaient nombreux dans toute la Floride mais ils ont été coupés pour la construction des maisons.

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