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Ce que nous apprend la Bioélectronique

La santé parfaite

La santé parfaite a été parfaitement bien définie par Louis Claude Vincent, hydrologue et créateur de la Bioélectronique. Elle est le résultat de l’équilibre parfait de 3 paramètres sanguins qui eux-mêmes sont le résultat d’un parfait équilibre de vie.

Que veut dire un parfait équilibre de vie ? Est-ce encore quelque chose qu’il est possible d’atteindre aujourd’hui ? C’est possible seulement si nous sommes en mesure d’identifier les facteurs d’équilibre les plus importants pour pouvoir agir ensuite intelligemment.

Le facteur évident c’est l’excès et plus l’excès est répétitif plus le déséquilibre s’accentue. Le domaine qui est le plus souvent mis en avant est l’alimentation et il est vrai que c’est un domaine où il y a souvent du trop ou du pas assez. La bio-électronique et la naturopathie nous renseigne très bien sur la nature des aliments et de leurs effets dans notre corps. Notre attitude devant l’alimentation est déterminante.

L’activité physique est également une source de déséquilibre que l’on fasse trop d’activité ou pas assez. Notre attitude et notre écoute vis à vis de notre corps est également primordiale.

Mais, de par mon observation, et je ne parle pas ici du bon stress qui peut nous stimuler dans certaines situations, le domaine qui est le plus néfaste et le plus difficile à équilibrer c’est l’émotionnel. Toutes les émotions négatives engendrent une tension qui peut déséquilibrer très rapidement notre organisme, en particulier celles qui deviennent chroniques.

Il existe plusieurs sortes de stress:

■ le stress physique: accident, blessure, chute, traumatisme

■ le stress chimique: bactéries, virus, nourriture, pollution diverse

■ le stress émotionnel: pertes, tragédies familiales ou du travail ou en lien avec l’argent.

Il y a 10.000 ans en présence d’une bête féroce ou d’une invasion barbare, l’état de stress était tout à fait approprié pour générer le cortisol et l’adrénaline nécessaire pour faire face à la situation, c’était un mode de survie. Mais aujourd’hui face à votre conjoint énervé ou votre patron pressurisé ou encore la pile de factures impayées  la réponse n’est plus tout à fait la bonne.

Le stress empêche le système immunitaire de fonctionner. En cas de transplantation d’organe par exemple on donne d’abord des hormones de stress au patient et ensuite seulement on opère. Pourquoi? En l’absence du système immunitaire rendu inerte, il ne pourra pas y avoir de rejet de l’organe transplanté.

Sur quel terrain se développe la plupart des maladies

Toutes les maladies commencent à s’installer dans un déséquilibre du terrain. Les maladies dégénératives commencent par un terrain relativement acide à l’endroit le plus faible du corps. Cette acidité des tissus indique une faible disponibilité locale d’oxygène et quand les tissus n’utilisent pas l’oxygène de façon efficace il y a oxydation, acidification et vieillissement.

Les causes de l’acidification proviennent de notre mode de vie: alimentation acidifiante, manque d’exercice physique et stress émotionnel. On ne sait pas exactement quel domaine est le plus modificateur de terrain mais on sait que certaines personnes qui avaient une alimentation saine, bio, se sont quand même retrouvées en terrain acide et oxydé. Quand on voit avec quelle rapidité un stress sévère modifie notre état physique, je pense que ce facteur est très sous estimé.

En matière de terrain, les microzymas (micro-organismes, les plus petites entités vivantes connues) ont une action nettoyante sur les parties du corps les plus acides, les plus oxydées et les plus chargées en métaux toxiques. Lorsqu’il y a déséquilibre et que le liquide extra-cellulaire devient acide, toxique et pollué, les microzymas changent alors de forme et deviennent virus, puis bactéries, et finalement levures, chaque étape étant une adaptation appropriée au terrain rencontré. (Les microzymas se transforment donc en fonction du terrain et c’est pourquoi une analyse de sang vivant permet un vrai dépistage précoce.)

« Les rétrovirus sont entièrement composés de matière génétique et ne donnent pas signe de vie; seuls, ils sont incapables de la moindre action. »

« En réalité, les symptômes de la maladie virale représentent la réaction du corps agissant pour sa propre défense et sa remise en état en présence de matières étrangères ou toxiques. »

« Il serait raisonnable de conclure qu’un individu déjà vulnérable au niveau immunitaire pourrait succomber à une infection virale. Cependant, dans le cas du VIH, il n’y a même pas un brin de preuve que le VIH provoque autre chose qu’une légère grippe ! Ceci est vrai pour tous les rétrovirus et prouvé par 20 ans de recherches intensives ».

« Les photographies présentées par le Dr Robert Gallo de l’Institut National de la Santé comme montrant le VIH « en train d’envahir » ( mais jamais en train de détruire) une cellule, étaient en réalité des photos de phagocytose (le processus par lequel la cellule engloutit le virus) ! »

Ceci est un extrait d’un rapport des plus grands spécialistes viraux dont le Dr Peter H. Duesberg, Professeur de Biologie Moléculaire à l’Université de Californie, Berkeley, Californie; autorité internationale en matière de rétrovirus; membre de l’Académie Nationale des Sciences,et le Dr Kary Mullis, Prix Nobel, Biochimiste, inventeur du RCP, la réaction en chaîne de polymérases (qui est le mode de mesure le plus précis de la présence de virus), rapport que vous pouvez trouver notamment sur le site Sida Santé.

Mais c’est le rôle des bactéries et des microbes que de nettoyer les détritus, les cellules mortes, les toxines et autres déchets, résultat d’une intoxination. Ces virus, bactéries et champignons sont donc le résultat, et non pas la cause de la maladie. Louis Pasteur s’est fourvoyé, la croyance que la bactérie est la cause de la maladie est erronée. Les « microbes » sont le résultat et non pas la cause de la maladie.

Nous avons les techniques les plus avancées en ce qui concerne la médecine d’urgence pour les blessures, les accidents, les infections… et soyons clair, là il n’y a pas de temps pour s’occuper du terrain, il faut agir et tout de suite avec les outils appropriés.

Pour ce qui est du domaine du chronique, une nouvelle biologie est en train de naître… au lieu de combattre et d’être en guerre contre les microbes ou virus, il convient de les accueillir et de les aider en modifiant le terrain dans le sens de l’alcalinisation des tissus.

Rendez-vous dans la deuxième partie pour voir comment il est possible de rétablir cet équilibre précieux.

Note: le Ph du sang est inversé par rapport au Ph du terrain. Lorsque le terrain s’acidifie, le sang tend à l’alcalinisation légère. Si on alcalinise le terrain, le sang tend à s’acidifier très légèrement. Mais dans l’ensemble le sang reste très stable grâce au système tampon qui maintient impérativement, sous peine de mort, le Ph sanguin entre 7.32 et 7.42.

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