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Comment rétablir l’équilibre du Rh2

les solutions simples au quotidien

Les facteurs du vieillissement prématuré de nos cellules:

La première chose à savoir concernant la vitamine C c’est que nous sommes, avec le singe et le cochon d’inde, les seuls à ne pas (ou ne plus) synthétiser cette vitamine. Le plus étonnant est que cette faculté de synthétiser est présente dans nos gènes mais n’est pas, ou n’est plus, activée.

Tous les animaux sauvages ont cette propriété intacte et c’est pourquoi ils meurent le plus souvent d’accident ou de vieillesse et rarement de maladie. Alors que l’être humain meurt rarement de vieillesse et le plus souvent d’accident ou de maladie. La chèvre par exemple synthétise 13 grammes de vitamine C par jour et si elle s’affaiblit pour une raison ou pour un autre, à cause d’une infection ou d’une blessure, la production de vitamine C augmente pour gérer le problème. Quelle merveille de la nature…

L’efficacité de la vitamine C a été démontrée pour la première fois au 16ème siècle lors des premiers longs voyages maritimes. Après quelques semaines de carence en vitamine C, en l’absence de fruits et légumes frais sur le bateau, les marins présentaient les signes de scorbut. Des milliers de marins en sont morts et pour la petite histoire, un médecin anglais qui avait compris assez vite la situation a suggéré d’embarquer des oranges et des citrons à bord, ce qui a effectivement épargné les marins du scorbut. Mais il aura fallu néanmoins attendre 50 années avant que le corps médical et la marine anglaise ne généralise cette solution de bon sens à toute sa flotte…

La deuxième chose à savoir sur cette vitamine C c’est qu’il existe depuis 20 ans des preuves de son efficacité dans le traitement de nombreuses pathologies.

Quelques cliniques* privées et hôpitaux offrent aujourd’hui des soins avec la vitamine C en haute dose par voie intraveineuse. L’équipe la plus avancée et qui possède le plus d’expériences dans ce domaine est celle du docteur Thomas E. Levy, qui en tant que cardiologue a démontré le processus de dégradation suivante à l’origine des problèmes cardiaques :

1) Une carence en vitamine C localisée se développe dans les artères coronaires.

2) La lésion de l’artère résulte d’une rupture de la paroi protectrice de l’artère car la substance fondamentale devient liquide. L’artère perd alors sa capacité à solidement fixer et à sceller les cellules intérieures protectrices sur la paroi artérielle.

3) Une plaque commence à se former alors que le calcium, le cholestérol, les graisses et autres substances circulant dans le sang pénètrent dans la paroi artérielle à travers les vides laissés par la substance fondamentale qui se détériore. Sentant une faiblesse évoluer dans l’artère, le corps compense en essayant de colmater, de sceller et de fortifier. Le corps synthétise même des couches de fibres de collagène sur la paroi artérielle afin de renforcer le vaisseau défaillant.

4) Au fur et à mesure que toute cette activité de compensation se poursuit, les parois artérielles se durcissent, s‘épaississent et commencent à bloquer la circulation du sang dans les vaisseaux.

5) Si la carence en vitamine C n’est pas rapidement et adéquatement traitée les blocages artériels vont mettre la vie du patient en danger.

Extraits du livre du docteur Levy :« La panacée originelle : la vitamine C »

Ayant travaillé plusieurs années sur la qualité de l’eau de consommation, j’étais persuadé des effets néfastes du calcaire sur le durcissement des artères. En réalité la carence en vitamine C est la source première du dépôt de calcaire. En présence de vitamine C, les parois artérielles restent souples et non poreuses et le calcaire et les graisses ne peuvent plus s’agglutiner.

La conclusion de cette équipe médicale est que la vitamine C est :

• un antimicrobien universel hors pair.

• un antidote ultime incomparable

• particulièrement efficace dans la protection contre les maladies dégénératives

• complètement sûre et non toxique pour les humains

• naturelle pour le corps humain et de ce fait efficace dans le traitement des maladies virales (sida/vih, herpès, polio, zona…) et non virales (infections, pneumonie, tétanos, fièvre typhoïde…)

L’Oasis of hope Hospital (l’hôpital oasis d’espoir… quel joli nom) à Tijuana à Mexico (Oasis of Hope) est un hôpital pour le traitement du cancer qui utilise depuis plusieurs années un protocole d’administration de doses élevées de vitamine C par intraveineuse sans chimiothérapie. Leurs taux de survie publiés pour les cancers de phase 4 sont trois fois supérieurs à ceux obtenus avec des thérapies conventionnelles.

La vitamine C est l’agent chimiothérapique par excellence : elle améliore et protège la santé des cellules normales tout en produisant la plus toxique des substances** à l’intérieur des cellules cancéreuses.

Extraits du livre du docteur Levy :« La panacée originelle : la vitamine C »

La troisième chose à savoir sur cette vitamine C est que les doses habituellement conseillées en milligrammes sont insignifiantes en comparaison des besoins réels de notre organisme. Le dosage dépend de la pathologie et varie de quelques grammes par voie orale à 25, 50 ou 100gr en intraveineuse pour les pathologies lourdes.

Par voie orale, la moins chère c’est l’acide ascorbique en poudre, qui du fait de son acidité peut provoquer à haute dose un stress intestinal. La vitamine C liposomale étant biodisponible est d’une part mieux tolérée par l’organisme et d’autre part son effet est multiplié par 4 : 1gr de vit C liposomale équivaut à 4gr de vit C acide ascorbique en poudre.

Il y a quelques années, sans pathologie particulière, j’ai fait l’expérience de commencer avec 1gr puis augmenter jusqu’à 15 gr par jour avec pour conséquence une sensation très agréable de grand nettoyage de tout mon organisme. L’essentiel est de respecter une progression en se servant des signes corporels comme la tolérance intestinale notamment.

En conclusion, de même que la rouille va détériorer les métaux, le processus d’oxydation, connue sous le nom de stress oxydatif, va plus ou moins rapidement détériorer notre organisme. Le stress oxydatif est connu pour déchirer les tissus à travers les membranes, déformer l’ADN, interrompre le métabolisme normal, déclencher des réactions chimiques destructrices et créer des débris cellulaires qui vont perturber le fonctionnement normal de l’organisme.

Le stress oxydatif déclenche et aggrave toutes les maladies dégénératives chroniques. De même qu’il est possible de limiter ou empêcher un métal de rouiller, il est possible de limiter et dans le meilleur des cas d’empêcher l’oxydation cellulaire en consommant l’anti-oxydant majeur qu’est la vitamine C en dose appropriée.

Si vous voulez rester en bonne forme, avec des cellules en bon état de fonctionnement, faites vos propres recherches, l’essentiel de mon message est de ne pas passer à côté des bienfaits de cette vitamine fondamentale.

La vitamine E est un également un bon anti-oxydant et les appareils qui produisent de l’eau hydrogénée également.

Parmi les nombreuses publications existantes si je devais vous recommander un livre ce serait un des livres traduits en français du docteur Thomas Levy. Le dernier en date de 2017 est « La panacée originelle : la vitamine C »

* à ma connaissance, la clinique la plus proche de la France est en Allemagne, près de Strasbourg :

Centre de traitement alternatif du cancer

** substance connue sous le nom de réaction de Fenton : c’est la réaction biochimique entre le fer à partir du péroxyde d’hydrogène présents en quantité très importante dans la cellule cancéreuse ET la vitamine C qui produit le radical hydroxyle, un pro-oxydant qui va détruire le contenu de la cellule cancéreuse et ensuite la cellule elle même.

Extraits du livre du docteur Levy :« La panacée originelle : la vitamine C »

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