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Seule la vérité nous libère !
Publication du 7 juin 2023
Seule la vérité nous libère !
Notre conscience contient toutes les croyances accumulées depuis notre naissance.
Jusqu’à l’âge de 8 ans nous sommes de véritables éponges et nous ne possédons pas encore de discernement. Vraies ou fausses, bonnes ou mauvaises, fonctionnelles ou dysfonctionnelles, nous absorbons toutes les impressions et informations dans lesquelles nous baignons. L’empathie est notre façon d’apprendre le monde et ce qui exprimé par les adultes qui nous entourent, verbalement ou non (le non verbal est souvent plus puissant que le verbal) nous l’absorbons et le tenons pour vrai.
C’est ce que nous appelons le conditionnement qui est une forme de contagion subliminale s’apparentant à l’hypnose de spectacledans lequel un sujet, une fois sous transe hypnotique, peut se mettre à croire tout ce qui lui est suggéré : Il peut croire qu’il fait chaud au point de se déshabiller ou qu’il fait froid au point de grelotter ou même d’avoir des marques de brûlure sur le corps si telle est la suggestion. C’est une forme d’envoûtement qui a été poussée jusqu’à induire une injonction meurtrière chez un sujet qui n’a pas hésité une seconde à tirer sur un acteur complice de l’expérience. Heureusement, les balles étaient à blanc ☺️
Tout ça pour dire que nous pouvons être plus ou moins sous influence sans nous en rendre vraiment compte et se retrouver à vivre des expériences et des situations que nous n’avons pas choisies. C’est à la fois très réel parce que nous le vivons et le ressentons et c’est aussi fictif parce que ce n’est qu’une création de la conscience qui peut être dissoute, renvoyée d’où elle vient ou transformée en confettis.☺️
C’est pourquoi j’ai écrit « Paradigmes & Croyances » qui explore la manière dont ces schémas énergétiques modèlent notre état d’esprit, notre vitalité et toute notre biologie avec des pistes pour se libérer de ces influences limitantes. Bien comprendre le phénomène est la première étape.
« Paradigmes & Croyances » est disponible en ligne en accès libre:
https://paradigmes-croyances.fr
Livre papier ou format Ebook:
https://paradigmes-croyances.fr
Pour se dégager de ces influences subtiles il existe deux voies :
La première voie consiste à faire de courtes introspections ciblées pour révéler la croyance centrale qui est à la source d’une influence particulière. Le processus qui est décrit à la page 109 du livre (ou en ligne en suivant le lien ci-dessous) peut se faire en solo, à deux ou en groupe.
Etape 2: reconnaissance de mon scénario limitant
Une option amusante consiste à faire appel à la synchronicité pour nous éclairer et nous guider, c’est une aide qui fonctionne très bien.
La seconde voie consiste à repérer dans notre vie quotidienne les activités ou les situations qui nous élèvent émotionnellement, celles qui nous font vraiment du bien et voir comment nous pouvons les mettre dans nos priorités et en augmenter la fréquence. Puis de repérer celles qui nous abaissent émotionnellement, celles qui ne nous font pas du bien du tout et, dans la mesure du possible, en réduire la fréquence ou mieux décider de les tenir à l’écart.
Chaque émotion contient un registre différent de croyances. En changeant d’émotion nous changeons de registre. C’est bien ce qui se passe quand nous tombons en amour, n’est-ce pas? C’est aussi ce qui se passe quand nous prenons une décision majeure dans notre vie. C’est quelque chose que vous avez forcément observé, plus l’émotion est élevée, plus les croyances sont légères… et inversement.
Le plus difficile est souvent de commencer.
Si vous souhaitez être guidé(e) dans un premier cycle afin de trouver « la croyance centrale influente » d’une problématique spécifique, contactez-moi en MP pour les modalités. Une fois que vous aurez intégré le processus, vous pourrez continuer ensuite par vous-même sur d’autres thèmes.
Publication FB du 01/11/2022
LE CINEMA, LA VIE ET LA LUMIERE
Il existe une analogie intéressante entre le cinéma et la vie. Il a été suggéré par de nombreux auteurs que nous étions à la fois le scénariste, le metteur en scène et l’acteur de notre vie.
Certains ont même ajouté que nous étions aussi le projectionniste, le caissier, l’ouvreuse et même le spectateur du film de notre vie. Toutefois, le point central est l’acteur, celui qui est potentiellement capable de jouer pratiquement tous les rôles et tous les personnages possibles et imaginables dans un film ou dans une pièce. Et c’est un choix, il peut accepter ou refuser le rôle.
La réussite d’un film tient essentiellement à une question de croyance. : il faut réussir à faire croire à une histoire projetée en deux dimensions (parfois trois, ce qui devient clairement plus convaincant) et cela dépend beaucoup de chaque acteur qui doit arriver à croire qu’il est vraiment le personnage qu’il incarne. Il finira par s’oublier en tant qu’acteur.
Pour être crédible aux yeux des spectateurs, l’acteur doit s’identifier suffisamment au personnage pour que les spectateurs puissent s’identifier à leur tour. Quand l’illusion est réussie, elle nous entraîne dans l’histoire et c’est le propre d’un bon film. Bien sûr, au fond, tout le monde sait que c’est un jeu de rôle et à la fin de la pièce ou du film, l’acteur et les spectateurs retrouvent pleinement leur identité.
Dans la vie, c’est le même scénario, il y a un début et une fin avec une histoire et des personnages sauf que c’est en mode beaucoup plus « sérieux ». La vie n’est généralement pas considéré comme un jeu, bien au contraire, c’est une expérience le plus souvent vécue comme quelque chose d’imposé (« je n’ai pas demandé à naître » entendons nous parfois) et vécue de façon plus ou moins dramatique. Remarquez au passage comment tout commence dans la jeune enfance où un personnage se dessine d’abord avec un prénom, un genre et des caractéristiques qui vont s’additionner et fabriquer son identité pour la vie.
Nous n’avons pas de preuve formelle, mais, avant la naissance et après la mort physique, du point de vue de l’âme ou de la conscience il se pourrait que l’expérience terrestre avec son histoire et ses personnages soit vue comme un jeu, une histoire à vivre, des rôles à jouer. Si c’est le cas, le voile de l’oubli s’impose pour s’identifier pleinement et se lancer véritablement dans l’inconnu.
Pour un acteur, jouer un rôle au cinéma peut-être vu et vécu comme une thérapie, comme un exutoire ou simplement un jeu. Un film peut comporter un message, un enseignement, un conditionnement ou être un simple divertissement.
Nous ne savons pas vraiment ce qu’il en est pour notre vie. Cependant, il y a une certitude : pour qu’un film puisse être projeté sur un écran, il faut absolument de la lumière et c’est l’analogie la plus profonde, c’est ce que nous sommes fondamentalement dans le film de notre vie : de la lumière… le plus étrange, c’est que nous sommes souvent persuadés du contraire… et c’est ce genre de croyance qui voile notre présence lumineuse… mais nous savons que les voiles sont éphémères et la lumière éternelle.
Quoi qu’il arrive, peu importe la quantité de voiles, quand la bobine du film est finie, il reste la lumière, la clarté, la pure innocence.
Publication FB du 29 juin 2022
Je mets à votre disposition une nouvelle de 10 pages, une fiction probable, qui augure, pour changer de l’actualité, un futur favorable.
Du Vide à la Plénitude
Résumé:
« La découverte tardive et inattendue du testament de Benjamin, décédé de mort naturelle en posture de méditation à l’âge de 33 ans, déclenche une procédure d’exhumation.
A l’ouverture des scellés du cercueil, en présence de sa mère Rose, celui-ci est vide.
Le plus grand évènement de tous les temps venait de voir le jour. »
« Le XXIème siècle sera spirituel ou ne sera pas » Malraux
(Le thème du cercueil vide et le nombre de pages étaient imposés par mon éditeur Librinova dans le cadre d’un concours en vue d’être publié dans « Lire Magazine Littéraire » à la rentrée)
Lien pour accéder au document en PDF
Publication du 1er mars 2022
Le vivant est imprégné d’éternité
La preuve que tout le vivant* est composé d’éternité se trouve dans les microzymas**. Cet « agent », dont parlait déjà Hippocrate en son temps, mesure entre 30 et 60 nanomètres de diamètre. Ces microzymas bâtissent TOUS les organismes du plus simple au plus complexe cellules, microbes, bactéries… lesquelles, soit dit en passant, sont toujours endogènes (bâties par nos propres microzymas) et ont pour fonction de réparer et de guérir.
Quand un organisme meurt, toutes les cellules sont « démontées » et retourne à leur état initial de microzymas. Ils sont immortels***, on les retrouve dans l’humus après la décomposition d’un corps, dans les momies ou dans la roche calcaire ou la craie datant de plusieurs millions d’années.
Ils semblent s’activer en présence d’un modèle, d’un schéma directeur à suivre. Leur rôle n’est pas seulement de bâtir un organisme, il s’agit aussi de maintenir un état d’équilibre (homéostasie) dans le cadre limité de l’obsolescence programmée qui est différente selon l’espèce. Celle de l’homo sapiens sapiens est de 120 ans. Notons au passage que l’on retrouve ce chiffre fatidique dans la Genèse 6 où dieu dit : « Mon esprit ne restera pas à toujours dans l’homme, car l’homme n’est que chair, et ses jours seront de cent vingt ans ». Ainsi fut-il !
Tout porte à penser que les microzymas suivent exactement les ordres qui leur arrivent sous la forme d’informations. Le professeur Philippa Uwins, un Australien, a décelé au cœur de chacun d’entre eux un cristal de silicium, comme ceux utilisés dans nos ordinateurs. Chaque zygote, oeuf ou graine contient son propre schéma à suivre et une fois que le développement de l’organisme est terminé, le cerveau qui reçoit constamment des informations de l’ensemble du corps a pour fonction d’envoyer aux endroits appropriés des ordres de maintenance et de réparation dont se chargent les infatigables microzymas.
Il est facile d’imaginer comment cette mission de 120 ans peut être entravée par tous le inhibiteurs à la fois chimique et psychique. Adam a vécu presque 1000 ans et toutes les générations suivantes ont vu leur durée de vie se raccourcir jusqu’à Moïse qui a décroché à l’âge annoncé de 120 ans.
C’est une expérience intéressante que de ressentir cette vie éternelle qui sous tend nos existences et l’ensemble du vivant dans l’univers. Et combien précieux de savoir qu’elle répond et se conforme aux informations qu’elle reçoit. D’autant que toutes nos croyances, convictions, certitudes sont autant d’informations que les microzymas reçoivent et s’empressent de suivre pour bâtir la réalité que nous projetons. C’est ce qui faisait dire à Shankara, un grand sage de l’Inde qui a vécu il y a plusieurs milliers d’années : « Les gens vieillissent et meurent parce qu’ils voient les autres vieillir et mourir »
Nous pourrions avancer une hypothèse : si notre organisme est entièrement composé de cette vie éternelle, l’immortalité physique est une réalité, elle est là, elle a toujours été là, elle est simplement limitée et empêchée par différentes sortes de comportement et d’enfermement qui impactent l’intégrité de notre corps et de la planète. Dans les périodes les plus sombres de l’histoire, l’espérance de vie humaine est descendue autour de 25 ans. Il semble qu’un lien existe entre durée de vie et sagesse. A nous de la cultiver individuellement et collectivement pour retrouver le paradis qui est nulle part ailleurs qu’ici.
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* Animal, végétal et minéral. (Les biologistes modernes ont classifié le vivant en six règnes dont le minéral)
**Plus de 40 ans de recherche et d’expérimentations rigoureuses d’Antoine Béchamp ont permis d’en comprendre l’importance et le rôle dans le processus de la vie. Ces « microcellules », qu’il a nommé microzymas, Gaston Naessens les a redécouvertes plus tard et les a nommées Somatides et elles ont été redécouvertes à la fin des années 2000 par des géologues qui les ont été rebaptisées « nanobes » ou « nanobactéries ». La science ne s’est jamais intéressée à cette piste de l’auto-guérison, elle a préféré prendre celle de Pasteur et de la vaccination. A croire que la meilleure façon de trouver le bon chemin est d’abord explorer toutes les impasses.
*** Bien que les microzymas résistent aux particules radioactives, ils ne survivent pas à de très hautes températures comme celle d’une crémation.
Publication du 14 février 2022
PULSION DE VIE…
Si vos parents ne sont pas immortels, vous êtes née avec une pulsion de vie ET aussi avec une pulsion de mort.
A priori l’être humain est la seule espèce sur terre qui a conscience de sa finitude. Nous savons que nous sommes nés et que nous allons mourir. Nous avons l’intuition de ce qu’est une vie entière et cela engendre une dualité.
D’un côté nous avons une pulsion de vie qui est très puissante. Si nous sommes attentifs elle nous met en garde sans cesse, avant même que les « accidents » arrivent. Nombreux sont les signes avant-coureur des déséquilibres physiques. La pulsion de vie est telle que lorsque les informations circulent bien entre les organes et le cerveau, ce dernier aura la capacité de produire la pharmacopée appropriée pour rétablir un déséquilibre ou nous diriger vers une solution que nous percevrons intuitivement. Nous sommes équipés pour maintenir une belle vitalité et avancer sur notre chemin, pour autant que soyons à l’écoute, en connexion personnelle avec l’intelligence infinie.
De l’autre côté nous avons la pulsion de mort qui est une émotion généralement inconsciente et responsable des comportements d’auto-sabotage et la nourriture des états dépressifs, des maladies, des sensations de désespoir etc.. Cette entité psychique est un paradigme que nous avons hérité de notre éducation et qui contient des idées et des croyances que nous avons à propos de la mort. Et comme tout paradigme, celui-ci peut être ramené à la conscience, ressenti, ré-évalué et dissous.
Vous connaissez l’histoire amérindienne des deux loups: quelle pulsion nourrissons-nous?
Au fond la mort n’est une mauvaise habitude et je soupçonne qu’au delà de cette dualité réside l’éternité..
Publication du 29 août 2021
La crevette PISTOLET et l’énergie libre
La crevette pistolet chasse en envoyant sur ses proies et prédateurs une « bulle d’eau » à la vitesse de 100k/h et une température de 4000°C. C’est en activant sa pince droite (sur la photo) démesurée dans un battement 150 fois plus rapide que celui d’un battement de cil qu’elle génère ce phénomène appelé CAVITATION.
Connue depuis 1910, la cavitation est l’implosion (collapse soit effondrement en anglais) d’une bulle d’eau qui se faisant libère une énergie considérable et une quantité de gaz allant de l’oxygène à l’hydrogène en passant par tout un éventail de gaz rares.
Selon l’authentique génie autrichien Viktor Schauberger il y a plus d’énergie encapsulée dans chaque goutte d’eau de source que dans toute la production d’une usine électrique. Sa conviction était que l’humanité doit commencer avec humilité à étudier ce que la nature nous enseigne au lieu d’essayer de la corriger.
Et justement la crevette PISTOLET nous enseigne quelque chose: l’utilisation de l’énergie fossile et nucléaire, tout comme le moteur à explosion, est désormais obsolète, la pénurie est un leurre et notre accès à l’énergie libre est la voie et l’enjeu pour un futur d’indépendance et de liberté, un futur d’écologie intelligente et d’abondance.
La quatrième partie du livre Paradigmes & Croyances est intitulée: La révolution non violente de la conscience citoyenne. L’énergie libre fait partie de cette révolution.
Publication du 15 mai 2021
Les voleurs d’énergie
Une relation équilibrée entre deux personnes est une relation nourrissante pour les deux.
Nous sommes des êtres énergétiques et bien que nous baignons dans un océan d’énergie notre corps n’est plus forcément apte à la recevoir et à s’en recharger. Pour des raisons physiques ou psychiques les canaux énergétiques corporels peuvent êtres obstrués. Inconsciemment cela peut nous amener à puiser chez l’autre cette énergie indispensable.
Il est important d’une part d’apprendre à recevoir l’énergie de la nature et d’autre part de reconnaître les signes énergivores pour ne pas vampiriser ou être vampiriser.
Le principe de base du vol d’énergie consiste à s’accorder à la fréquence énergétique de l’autre et il y a trois grandes différentes manières de s’y prendre :
– La vampirisation discrète: c’est la personne du genre collant, celle qui soutire notre énergie en essayant de nous toucher, de nous prendre la main, et de nous coller pour nous parler. Elle s’adapte aux caractères et aux tempéraments et cherche à s’infiltrer dans les fragilités de l’âme. Cette personne est souvent bonne psychologue, sociable et on la reconnaît surtout à son absence de charisme, son côté gluant et intrusif.
– La vampirisation manipulatrice : la manipulation est indissociable de la culpabilité et de la honte. Les personnes qui ont un complexe de culpabilité ou de honte attirent le manipulateur qui lui-même cherche inconsciemment des personnes disposées à se soumettre au jugement. Par la curiosité excessive, inquisitrice ces personnes savent toucher où ça fait mal, le but étant la dégradation pour créer des justifications dont elles se nourrissent.
– La vampirisation provocatrice: c’est la plus brutale et la plus directe, le but étant de déstabiliser l’autre. De la dérision à la pression autoritaire en passant par l’intimidation tous les moyens sont bons pour faire perdre le contrôle et se nourrir de la réaction quelle qu’elle soit: irritation, grossièreté, ressentiment, peur, hostilité… Cette dernière est à mon sens celle qui est la plus utilisée par des personnes qui sont en position d’abuser de leur pouvoir.
Dans les trois cas, le signal d’alarme est l’épuisement, si nous nous sentons plus faible, abattu, vidé, nous avons été utilisé. Il suffit de regarder autour de nous pour se rendre compte que c’est une pratique courante qu’il vaut mieux reconnaître pour mieux s’en protéger.
Gardons simplement à l’esprit qu’une relation équilibrée entre deux personnes est une relation nourrissante pour chacune.
Deux auteurs en parlent très bien : James Redfield dans « La prophétie des Andes » Editions J’ai Lu et Vadim Zeland dans « En avant dans le passé », Editions Exergue
Publication du 5 mai 2021
Identification et Croyance
Les pêcheurs du lac Titicaca attrapent les poissons avec un carré de bambous attachés entre deux barques. Le soleil au zénith projette l’ombre du carré dans l’eau et tout poisson qui entre dans cet espace n’en ressort plus se « croyant » prisonnier de cette illusion.
Un poisson rouge dans son bocal ne fait l’expérience que de l’espace contenu dans les limites du bocal et il n’a pas conscience de tout ce qui existe au-delà.
C’est pareil pour nous quand nous sommes identifiés à une croyance, elle agit comme les parois d’un bocal. Nous ne sommes plus vraiment conscients des limites qui nous enferment et encore moins de quoi nous sommes séparés. Une croyance est toujours une séparation de quelque chose.
J’ai lu récemment la biographie d’une peintre mexicaine qui dans le courant de son enfance est entrée progressivement dans la croyance qu’elle n’était pas aimable, dans le sens où elle ne valait pas la peine d’être aimée. Dans sa vie d’adulte, elle ne s’aimait pas et se trouvait laide (ce qui n’était pas du tout le cas) et son mari, qu’elle adorait, la délaissait et la trompait sans s’en cacher. Sans entrer dans les détails, sa vie a été une épreuve qui avait ses racines dans cette conviction profonde de ne pas être assez bien pour être aimée. « Je suis la désintégration » disait-elle.
Une croyance est souvent insidieuse, l’identification est progressive pour aboutir à un « je suis….. » ou « je ne suis pas …. ». « Je suis » est l’essence de l’identification. Par la suite on attribue éventuellement la source de nos problèmes à des personnes ou à des évènements qui ont leur part de responsabilité bien entendu, mais ça ne résout rien et la croyance reste invisible la plupart du temps. Elle agit comme l’ombre des bambous et c’est cette ombre qui a empêché notre peintre d’accéder au monde de l’amour de soi, de la considération pour son propre corps et de vivre le respect d’un amoureux sincère ce qui aurait changé mille autres choses autour d’elle dans sa vie.
D’où l’importance de développer une conscience autour de ce nous croyons, elles conditionnent la qualité de notre vie.
Publication du 21 mars 2021
Croyances et faits
Dans les conférences que j’ai données sur le sujet des Paradigmes & Croyances les deux questions qui revenaient le plus souvent étaient celles-ci :
Q1. Est-ce que vous êtes en train de parler des croyances religieuses?
R1. Non, pas du tout. Quand je parle de croyances, je fais référence à ce que nous croyons au sujet de nous-mêmes, de notre corps, des autres, des relations, de l’argent, du monde et qui affecte notre état d’être, notre vitalité, toute notre biologie. Et la plus grand partie de ces croyances est invisible, exactement comme l’est la partie immergée d’un iceberg.
Q2. Vous nous invitez donc à n’avoir que des croyances positives ?
R2. Non, pas du tout. Même si croire par exemple que « tous les gens sont bons » est plus agréable à vivre que croire que « tous les gens sont mauvais » le jour où nous rencontrons un (ou une) pervers narcissique, notre croyance va agir comme un filtre ou un voile et nous ne le verrons pas tel qu’il est. Seule l’absence de croyances nous permet d’être dans la position la plus favorable pour observer ce qui est.
Si je mentionne ces deux points c’est que nous les vivons plus profondément en temps de crise comme aujourd’hui :
99,99 % de ce qui se dit et de ce qui passe en ce moment est le résultat de croyances immergées qui empêchent de voir la réalité telle qu’elle est. Les croyances sèment la confusion et la discorde et toute décision basée sur une croyance inconsciente comporte un grand risque de se tromper.
Seuls quelques un(e)s se situent sur la partie émergée de l’iceberg et parlent simplement des faits, de ce qui est observable. Les faits nous donnent de la stabilité et de l’entente et toute décision basée uniquement sur des faits concrets comporte une grande chance d’être dans la vérité.
Apprendre à bien reconnaître la différence entre croyance et observation factuelle est le point clé de notre évolution qu’elle soit individuelle ou collective.
Publication du 8 janvier 2021
Le pouvoir
Le mot « pouvoir » n’a plus bonne réputation du fait de son usage malveillant depuis des siècles. L’oppression maladive de l’homme sur la femme ainsi que l’oppression pathologique parfois des religions et souvent des gouvernements sur les peuples ont occulté la beauté du mot et les innombrables pouvoirs bienveillants qui ont élevé et éveillé notre humanité. Du domaine des arts à celui des sciences humaines en passant par la politique la liste est longue des femmes et des hommes qui ont utilisé leur pouvoir pour de nobles causes.
« Empowerment » est un mot anglais qui signifie « donner du pouvoir à quelque chose ou à quelqu’un ». Tant qu’il est accordé à des personnes bienveillantes, investir de pouvoir son conjoint, son associé, son patron ou son gouvernement est une excellente chose parce en faisant cela nous recevons du pouvoir en retour, c’est un effet dynamique d’enrichissement mutuel. En l’absence de bienveillance le pouvoir ne doit pas être donné. Quand la bienveillance n’existe plus, on doit tout simplement retirer le pouvoir confié. Ce n’est pas tant de reprendre son pouvoir que de ne plus l’investir. Sans pouvoir une personne ou un groupe disparaît.
Publication du 1er janvier 2021
La dimension cosmique de l’eau
L’eau est à l’écoute de notre âme pour maintenir l’harmonie cosmique.
Tous les phénomènes électriques qui font fonctionner notre corps se font à travers l’eau qui est sensible aux champs magnétiques.
Notre corps est une entité électro-magnétique, copie conforme du monde cosmique et de notre univers physique.
Pourquoi nous sentons nous bien en présence de l’eau en mouvement : rivière, mer, cascade, fontaine ou après orage et pluie ? Parce des ions négatifs sont créés et ces ions, ces électrons, sont indispensables à la respiration, à notre équilibre biologique, à la vie. Les arbres et plus particulièrement les pins dont les aiguilles sont excitées par le vent, sont également générateurs de ions négatifs.
Tout déséquilibre ou affaiblissement de ce courant électro-négatif entraîne progressivement la mort biologique. L’eau est un résonateur cosmique, elle reçoit des informations physiques et véhicule les éléments nutritionnels nécessaires à la cellule mais elle reçoit aussi des éléments plus subtils au niveau d‘une grande variété d’énergies et de fréquences vibratoires provenant de l’environnement tellurique et cosmique. Les molécules d’eau se comportent à la fois comme émetteur et récepteur et comme un système de mémoire, elles assurent le stockage de l’information. Ce sont d’ailleurs les trois propriétés d’une mémoire : recevoir, stocker et émettre.
Elle est bien sûr surtout sensible à nos pensées, nos croyances et nos émotions Au final, l’eau véhicule ce que nous sommes, c’est à dire le meilleur comme le pire.
La qualité vibratoire de l’eau est quelque chose qui se mesure. En radiesthésie par exemple il est facile de mesurer une eau avant et après information. Et 10 radiesthésistes trouveront exactement les mêmes mesures, preuve que l’eau porte bien la mémoire de l’information, négative ou positive. A nous de rendre à l’eau cette vitalité dont elle est porteuse, aidons-la à transmettre du monde lumière venue d’une autre dimension ces forces et ces énergies que nous ne savons plus capter.
« … ce n’est pas 70 % d’eau que nous avons dans le corps : si nous évaluons le nombre de molécules que nous avons dans le corps, calcium, potassium, carbone…par rapport à celui des molécules d’eau, le nombre des molécules d’eau représente plus de 99 % de la totalité des molécules. La moindre des protéines est entourée de 15,000 à 20,000 molécules d’eau, même dans les os il y a 30 à 40 % d’eau. » disait Jacques Benveniste.
L’eau que nous buvons, rendons-la sacrée, chargeons la de nos plus belles intentions. Elle modifiera la programmation de notre ADN et tissera de nouvelles connexions synaptiques et neuronales propices à créer notre nouvelle réalité. L’eau de notre corps est l’autoroute de cette information et la diffuse au coeur de toutes nos cellules. Nos cellules informées fonctionneront en harmonie et s’alimenteront de plus en plus des énergies du monde cosmique. Nous sentirons peu à peu la régénération physique nous investir et de nouvelles forces apparaître. Nous nous conformerons à ce pourquoi nous existons, c’est à dire à des créateurs qui rempliront l’espace et le temps d’idées et de conscience.
Note: vous trouverez sur ce lien quelques mots sur la qualité d’eau de consommation:
Note : Jacques Collin et Marc Henry sont à ma connaissance les deux chercheurs les plus avancés aujourd’hui en France dans le domaine de l’eau. Ils ont écrit tous les deux d’excellents livres très inspirants:« L’insoutenable vérité de l’eau » de Jacques Collin et « L’eau qui nous relie » de Marc Henry
Publication du 16 décembre 2020
MATRICE
Une matrice est un univers holographique imposé et maintenu en place par ceux qui veulent exercer un contrôle sur d’autres qui en acceptent, bon gré ou mal gré, les règles du jeu.
Un univers holographique , à l’image de celui dans lequel nous vivons, est composé à la base uniquement de paradigmes desquels découlent toutes sortes de croyances, de règles et de lois. C’est un espace en perpétuel changement dans lequel les libertés et les restrictions érigées laissent l’impression d’une réalité incontournable. Protester contre les paradigmes en place au mieux ne sert à rien et au pire renforce le modèle existant.
Bien évidemment une matrice qui veut garder sa place ne nous apprend pas à penser dans ce sens mais le fait est que fondamentalement:
1. Les paradigmes sont interchangeables.
2. Tout groupe humain normalement constitué a la capacité de s’entendre et de définir un nouveau modèle de vie.
3. Dès que le nombre de personnes qui projettent un nouveau modèle dépasse le nombre de ceux qui entretiennent le modèle existant, ce dernier disparaît et laisse la place au nouveau.
L’intention est l’essence de toute matrice.
Publication du 30 novembre 2020
Ressenti et Croyance
Notre ressenti dépend en grande partie de nos croyances (synonyme de croyance: conviction, supposition, attente)
Prenons un exemple : si je crois que le sexe opposé au mien est manipulateur, à chaque fois qu’il s’approche de moi, je vais me sentir menacé, en danger et peu importe la forme que cela va prendre mais la relation va être biaisée en présence de gens normaux ou bienveillants.
A l’inverse si je crois vivre dans un monde où tout le monde il est beau il est gentil, je vais me sentir à l’aise, tranquille mais la situation sera également faussée en présence d’individus pervers et malveillants. Dans les deux cas mon ressenti n’est pas en phase directe avec la réalité. Le seul moment finalement où mon ressenti est juste c’est en l’absence de croyance. Dans ce cas, en présence d’une autre personne mon ressenti me donne l’information juste sur la personne. Je peux ressentir ses intentions, ressentir si ce qu’elle dit est vrai.
Dans un monde où le mensonge est devenu pratique, dans un monde où la technologie est devenue si sophistiquée qu’il est presque impossible aujourd’hui de savoir si une vidéo, une image ou des mots, qui ont pu être déformés ou sortis de leur contexte, sont justes ou pas, seul notre ressenti dénué de croyance peut nous guider.
Publication du 13 novembre 2020
Ligne de vie et bifurcation
Tout évènement sur une ligne de vie possède deux branches. La branche favorable et la branche défavorable.
A chaque évènement que nous rencontrons, nous faisons un choix sur la façon de le traiter.
Si nous le considérons comme positif, nous allons sur la ligne favorable de notre ligne de vie. Si notre tendance vers le négativisme nous pousse à manifester du mécontentement, nous prendrons la branche défavorable.
Ceci est un paradigme observé et développé par la nouvelle physique notamment par Phillipe Guillemant physicien français et Vadim Zéland physicien russe.
Pas besoin d’y croire ou pas, le plus simple est d’en faire l’expérience : la prochaine fois que nous sommes confrontés à quelque chose qui nous déstabilise, faisons un choix conscient (peu importe lequel mais conscient) et voyons sur quelle vague nous surfons ensuite.
L’implication de ce paradigme est déjà immense sur le plan personnel, mais crucial sur le plan collectif. C’est ce qui fait basculer une société pour le meilleur ou pour le pire.
Soyons nombreux à choisir la bonne vague.
Publication du 13 novembre 2020
« Les virus sont aussi nos amis. »
Vers un nouveau paradigme : et si on se trompait de cible ?
« On leur doit tout ! Les virus auraient joué un rôle clé dans la naissance de nos cellules et de leur noyau. Ils pourraient même être à l’origine de notre ADN… Bref, ces êtres innombrables ont modelé notre histoire évolutive, raconte Lionel Cavicchioli dans Science & Vie. »
« Les virus sont aussi nos amis. » Patrick Forterre aimerait que l’on change notre regard sur ces entités biologiques de triste réputation. Ce microbiologiste, longtemps à la tête d’une unité de l’Institut Pasteur, est spécialisé dans les virus et vient, avec son équipe, de démontrer que ces virus, dont le génome peut atteindre le millier de gènes, ont joué un rôle clé dans notre propre histoire évolutive. Les virus sont présents partout sur Terre, des océans aux tubes digestifs des animaux, où ils sont jusqu’à 100 fois plus nombreux que les cellules. Il y aurait à tout moment 10(31) particules virales présentes sur notre planète, soit une biomasse de 200 millions de tonnes. »
La Bioélectronique propose une vision originale de la vie : tout microorganisme doué de vie ne se développe que sur un terrain qui lui est favorable. C’est la discipline qui a le mieux compris le contexte d’apparition des virus et mis en évidence qu’en terme de santé que le terrain est tout. Antoine Béchamp, contemporain de Pasteur disait déjà la même chose.
Les analyses montrent clairement que nos conditions de vie «modernes» induisent une alcalinisation et une oxydation progressives du sang (voir schéma). Bon nombre de dégénérescences s’accompagnent de cet effet. Or le fait de trouver des virus, puisque le terrain leur est favorable, n’implique pas qu’ils soient seuls responsables, qu’ils soient la seule et véritable cause du trouble. La preuve c’est qu’en corrigeant le terrain, ils disparaissent.
C’est pourquoi les anti-oxydants comme la Vitamine C, le Zinc ou l’hydroxychloroquine fonctionnent, ce sont de puissants anti-oxydants qui corrigent le terrain.
Il est grand temps de changer de paradigme !
Publication du 16 octobre 2020
Effet miroir et projection
Nous pourrions penser que nous voyons les gens tels qu’ils sont et pourtant :
Carl Gustav Young disait de l’effet miroir que «tout ce que nous voyons chez les autres n’est que le reflet de nous-mêmes». En d’autres mots, cela veut dire que ce que l’on perçoit chez les gens, n’est ni plus ni moins que le reflet de ce que l’on porte à l’intérieur de nous, telles nos blessures, nos mémoires, nos croyances limitantes.
Et si cet effet miroir existe c’est parce que nous projetons les fantômes de ces blessures, mémoires et croyances sur le monde qui nous reviennent comme un reflet.
Le mot « projection », fait penser à une séance de cinéma avec une salle obscure, un écran et un film dans le projecteur. La projection psychologique c’est la même chose, la salle obscure c’est notre inconscient, l’écran c’est une personne que nous voyons ou à laquelle nous pensons et le film ce sont nos images du passé. On « projette » notre film sur quelqu’un en lui attribuant des qualités, des défauts, des intentions qu’il n’a pas en réalité.
A l’inverse, nous sommes aussi l’objet de la projection de l’autre. Par exemple quand quelqu’un est agressif envers nous. Pour une raison que la personne ne connaît pas elle-même puisque que c’est inconscient, elle projette sur nous ses ombres du passé. Nous sommes bien évidemment « responsable» de quelque chose mais ça pourrait être tout simplement une ressemblance physique ou quelque chose dans notre attitude ou dans notre voix qui rappelle quelqu’un de son passé envers qui elle porte encore de la colère ou du ressentiment. Et il n’y a là rien de personnel et cela ne nous concerne pas.
Quand la projection disparaît, l’effet miroir disparaît aussi et c’est seulement dans cet espace neutre que nous pouvons percevoir les autres tels qu’ils sont.
Publication du 6 octobre 2020
L’insoutenable intelligence de nos cellules
Les travaux de Bruce Lipton, biologiste, ont démontré que sur le plan physique les cellules avaient deux types de comportement en présence d’information : attraction (pour sa croissance) et répulsion (pour sa protection).
Autrement dit, soit l’information est reconnue comme nutritive et la cellule s’avance et s’ouvre aux nutriments soit l’information est reconnue comme toxique et elle se ferme et s’éloigne.
C’est déjà remarquable d’intelligence en soi mais il se passe en fait la même chose sur le plan de la psychologie :
si l’information de l’environnement est perçue comme menaçante (menace intellectuelle, émotionnelle, affective ou physique) l’organisme entier se met en mode protection pour fuir la situation. Le mode protection c’est moins d’intelligence et plus du tout de système immunitaire toute l’énergie est mise en œuvre au niveau des membres pour se battre et fuir. C’est un mode de survie qui est fait pour être de courte durée…
Si l’information est perçue nourrissante (intellectuellement, émotionnellement, affectivement, physiquement) l’organisme entier passe en mode de croissance pour en absorber tous les bienfaits. L’intelligence est disponible, le système immunitaire fonctionne normalement et tout l’organisme est au service de la croissance et au maintien de la vitalité. – La qualité de notre perception des informations est donc vitale.
– La qualité de notre interprétation de ces informations est fondamentale.
– La qualité de nos pensées et croyances est également essentielle car nous oublions souvent que ce sont des informations que notre corps va traiter en mode survie ou en mode de croissance.
Publication du 3 juillet 2020
exemple de paradigmes
C’est une période propice pour comprendre la puissance d’une croyance qui peut soit créer une folie collective qui nous sépare les uns des autres ou au contraire une communauté solidaire les uns des autres, quelque soit notre race, genre ou âge…
Un croyance n’est qu’une information à laquelle nous adhérons. Peu importe que l’information soit vraie ou fausse, qu’elle soit positive ou négative : dès que nous adhérons, nos émotions, notre état d’être, nos comportements et toute notre biologie est modifiée.
La croyance et ses manifestations seront plus ou moins fortes selon le degré de conviction et d’importance que l’on accorde à l’information. Notre degré de conviction et d’importance varie selon les croyances que avons déjà.
Si je crois que les virus et les bactéries sont malfaisants et qu’ils vont éradiquer l’être humain de la planète ; l’information d’une épidémie causée par le nouveau virulent virus Tartempion va me mettre dans tous mes états et bouleverser toute ma psychologie et ma biologie.
Si je crois que les virus et les bactéries, qui sont là depuis des millions d’années, nous aident à faire évoluer notre patrimoine génétique pour favoriser notre adaptation au monde, je prends quelques précautions supplémentaires, vit C, exercices et je fais confiance à mon corps et à la vie.
Deux paradigmes, deux expériences fondamentalement différentes selon nos convictions personnelles.
Sans aucune adhésion à l’un de ces deux paradigmes que devient notre psychologie et notre biologie ? Je pose la question…
« Où est la réalité ou la vérité par rapport aux paradigmes ? » me demande-t-on par Messenger.
Difficile à dire, chaque tenant d’un paradigme le tient pour réel. Il semble que les paradigmes évoluent avec la conscience. Les deux paradigmes cités sont ceux de Pasteur « Le microbe est tout » et celui de Béchamp « Le terrain est tout ».
Depuis, la physique quantique a ouvert un nouveau territoire avec le rôle de l’observateur qui influe sur l’expérience ainsi que la notion de vibration, à savoir que ce qui se manifeste, individuellement et collectivement, est le reflet de notre vibration.
Vibration qui est déterminée par la qualité de nos croyances, de nos émotions, notre état de conscience. Je ne sais pas si c’est la réalité ou la vérité mais il semble que l’on se rapproche de la source.
Publication du 23 juin 2020
Retour à la Source
Le « développement personnel » est un paradigme qui sous tend que nous sommes des êtres imparfaits ou incomplets et que nous devons développer des choses que nous n’avons pas ou créer des modèles que nous ne sommes pas. Il y a des manques qu’il nous faut combler…
Comme on ne sait pas très bien où aller, c’est un chemin dans lequel il est facile de se perdre. Le « retour à la source » est un paradigme inverse dans lequel nous sommes des êtres parfaits ou complets et que nous avons simplement à ôter les voiles que nous avons mis sur notre propre lumière.
C’est un retour à notre état originel où Il n’y a pas de manque parce que tout est là.., ce n’est qu’un éloignement, un désalignement tout au plus. C’est comme retrouver le chemin de la maison après s’être égaré, il est impossible de se perdre.
Publication du 4 juin 2020
LE MOMENT PRESENT
L’attention est la clé pour être dans le moment présent. Etre dans le moment présent n’est pas quelque que nous pouvons décider… nous ne pouvons même pas le chercher.
Etre dans le moment présent est une résultante. On s’y retrouve quand nous quittons la dernière fiction, le dernier film que nous nous racontons. La difficulté réside dans le fait de reconnaître, d’identifier le scénario. C’est là que l’attention intervient, en étant attentif nous pouvons prendre conscience des schémas et la lumière de l’attention va les dissoudre petit à petit.
C’est une peu comme nous étions au coeur d’une immense pivoine, entouré de nombreux pétales, pour chaque pétale, une histoire à laquelle nous croyons. En reconnaissant chaque couche pour ce qu’elle est nous progressons vers la périphérie où le moment présent se trouve.
Voici quelques exemples de pétales fiction que nous pouvons trouver en étant attentif :
– Ressasser le passé
– S’inquiéter du futur
– Juger (soi même, les autres ou les situations)
– Besoin de se justifier
– Toutes les émotions négatives sont des symptômes d’un scénario en cours de projection : anxieux, jaloux, envieux, victime, ennui, colère, tristesse, se plaindre etc.
– Compenser d’une manière ou d’une autre
– Vouloir être autrement
– Analyser, chercher à tout comprendre
– rechercher le conflit
– Comparer en permanence
– Sensation de fatigue ou d’épuisement Etc.
La liste complète serait longue parce qu’on y retrouverait tous les états, toutes les attitudes et tous les comportements insatisfaisants de l’existence.
Les reconnaître comme nos créations et en prendre pleine responsabilité nous en libère.
Etre dans le moment présent, c’est de retrouver dans l’énergie de la vie. C’est l’endroit ou nous nous rechargeons en énergie. Et cette énergie de la vie se traduit par de la joie, de l’enthousiasme dont le sens étymologique est: « transporté par le divin, état d’une personne habitée et inspirée par la divinité »