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La révolution non violente de la conscience citoyenne 3/3
« Politiciens en train de discuter du réchauffement climatique » Oeuvre d’art que l’on peut voir à Berlin…
Les avancées citoyennes en matière de santé et bien être
Il serait plus juste de dire les avancées alternatives réalisées par des chercheurs indépendants. La médecine classique fait ce qu’elle peut avec les moyens qu’elle a à sa disposition pour faire face aux maladies. Mais tout comme la politique et l’éducation, elle a pris un chemin qui n’est pas le meilleur. Dans le paradigme de la médecine classique il y a la croyance que le corps n’a pas d’intelligence propre et qu’il faut absolument intervenir. C’est dans cette voie que Pasteur s’est fourvoyé en faisant croire que le microbe était tout. Ses contemporains Louis Claude Bernard et Antoine Bechamp avaient observé le contraire à savoir que « Le microbe n’est rien, le terrain est tout ».
Il faut savoir que l’académie de médecine indécise entre les deux approches a mis environ trente ans pour finalement choisir le camp de Pasteur pour ses résultats avec la vaccination contre la rage. Le choix du camp de Bechamp aurait probablement était une médecine plus préventive puisqu’il fallait tenir compte du terrain et comprendre les raisons des déviations de la bonne santé.
Dans ce même paradigme, on ne veut pas tenir compte des résultats des chercheurs indépendants, comme Gaston Naessen*, Beljanski*, Louis Claude Vincent* pour n’en citer que quelques uns. Pire, si les découvertes de chercheurs officiels sont gênantes ou incompatibles avec les croyances en vigueur, on coupe les vivres du chercheur en question. C’est ce qui est arrivé à Jacques Beveniste, chercheur à l’INSERM, lorsqu’il travaillait sur l’eau et ses propriétés. Il a découvert que l’eau pouvait mémoriser des informations et il a été rapidement et injustement discrédité et mis à l’écart. En 2005, un an après sa mort, ses enfants ont publié un livre posthume : Ma vérité sur la « mémoire de l’eau », En 2014, Luc Montagnier, prix Nobel de médecine, a confirmé les travaux de Beveniste et s’en est expliqué dans une émission de télévision, « On a retrouvé la mémoire de l’eau« , diffusée par France 5 en juillet 2014.
Le même paradigme ne tient pas compte ni de la conscience et ni des croyances du patient. Pourtant on sait depuis longtemps qu’une croyance induit systématiquement une prédiction. Carl Simonton est un oncologue réputé aux Etats-Unis depuis les années 80 et il a été un des premiers à réaliser l’impact de la prédiction pour les patients de sa clinique atteints de cancer. A la question « Sur quoi repose la guérison du patient ? » il a répondu :
« la guérison d’un patient dépend de 3 facteurs :
✓ le premier est le système de croyances du patient,
✓ le second est le système de croyances de la famille
✓ le troisième est le système de croyances du médecin traitant. »
En 1959 les études faites sur ce sujet montraient que dans 30% des cas un patient guérissait en prenant un médicament contenant un élément non actif, comme du sucre par exemple. Les dernières études montrent un taux d’efficacité allant jusqu’à 84% selon les cas et les pathologies et le contexte du protocole (voir les travaux du Docteur Patrick Lemoine). Ces résultats encore peu connus signifient que notre organisme, via notre conscience qui valide le processus en accordant sa confiance dans le médecin et la médecine, ou pour n’importe quelles autres raisons, est capable de synthétiser la pharmacopée appropriée pour obtenir la guérison. C’est l’effet positif du placebo qui au passage veut dire « je plairais ». A l’inverse notre organisme, via notre conscience qui ne valide pas le processus en n’accordant pas sa confiance dans le médecin et la médecine, ou pour toutes autres raisons, va synthétiser des substances plus ou moins nuisibles selon les raisons sous-jacentes. C’est l’effet négatif du nocebo qui veut dire «je nuirais».
Détournement de médicaments, rituels, cultes, de nombreuses techniques s’inscrivent dans un traitement et dans une culture donnée, lui conférant un sens local et permettant une action décuplée. L’observation de l’effet placebo est intemporelle et universelle. Le phénomène concerne toutes les classes sociales, tous les âges, toutes les cultures. La guérison varie selon les attentes, qu’elles soient conscientes ou inconscientes. En fait, et c’est là une vision toute personnelle, si on ajoute l’effet positif placebo à l’effet négatif nocebo + l’effet neutre, on obtient probablement 100%.
Ce que je veux dire c’est que, comme toute chose, le placebo peut être « chargé » positivement, neutre ou négativement selon nos propres filtres internes (toutes nos considérations sur la médecine, notre état émotionnel du moment entre autres) et selon l’information véhiculée par le contexte du placebo : le protocole de la prescription, l’attitude et la voix du praticien, la taille ou la couleur ou le nom du placebo a une influence déterminante sur le résultat. Ces informations vitales qui ne sont pas prises en considération sont un point de départ pour changer de paradigme et reprendre son propre pouvoir.
* Gaston Naessens, biologiste français. En 1952, il crée son propre microscope inégalable, le somatoscope, qui lui a permis d’observer des corpuscules différents des virus et des bactéries, que personne n’avait pu voir avant lui. Il leur donne le nom de somatides. Le message de Naessens est le suivant : « la cellule cancéreuse n’est pas une cellule folle commandée par un ADN fautif, mais une cellule intelligente en processus ultime d’adaptation pour survivre à un environnement cellulaire désadapté et désorganisé. Autrement dit, la cellule cancéreuse nous indique sa détresse devant un terrain biologique totalement désadapté pour assurer sa survie. Il ne sert à rien de tuer simplement la cellule cancéreuse qui s’emballe et se multiplie pour survivre. Il suffit de changer l’environnement cellulaire pour que la cellule « anarchique » comprenne la nouvelle information et tente de retourner à sa normalité. » C’est ce que fait le produit qu’il a mis au point, le 714-X, qui apporte de l’azote aux cellules cancéreuses. La présence d’azote stoppe la substance émise par les cellules qui paralysait le système immunitaire. Celui ci redevient aussitôt opérationnel et tout cela sans effet secondaire.
http://www.ipsn.eu/newsletter/cancer-guerison-interdite/
* Mirko Beljanski, chercheur biochimiste français. Il a mis au point des médicaments enfin efficaces et non toxiques permettant de soigner le cancer au début des années 1980.
* Louis Claude Vincent, ingénieur français, spécialisé en hydrologie et père de la Bioélectronique. Technique idéalement adaptée à la préservation de santé, la Bioélectronique est irremplaçable pour définir la qualité d’un produit et l’état de santé. Elle aurait pu permettre d’éviter que se produisent plusieurs catastrophes sanitaires et les maladies de notre civilisation moderne. Louis Claude Vincent a défini trois facteurs mesurables qui permettent de connaître la nature exacte du terrain : l’oxydo-réduction, l’acido-alcalin et la résistivité. » Il n’y a pas de mauvais microbes, il n’y a que de mauvais terrains «
► L’équilibre oxydo-réducteur du sang se situe autour de 22. L’échelle va de 0 à 42.
► L’équilibre acido-alcalin ou acidobasique du sang se situe autour de 7.2. L’échelle va de 0 à 14.
► La résistivité idéale du sang se situe autour de 210 ohms par cm2.
https://www.votre-sante-naturelle.fr/accueil/qui-sommes-nous/historique/
Les avancées citoyennes en cosmogonie
« La cosmogonie, du grec ancien « cosmos » (monde) et « gonos » (création), est une théorie sur la création du monde et de l’univers, qui prend soit la forme de légendes et de mythes soit d’hypothèses scientifiques. »
Définition du dictionnaire: la cosmogonie est sans doute le sujet qui nous passionne le plus car il comprend nos éternelles questions existentielles :
✻ D’où venons-nous ?
✻ Où allons-nous ?
✻ Dans quel monde vivons-nous ?
Les religieux et les scientifiques se sont emparés du sujet depuis des centaines d’années et ce que j’aime dans la définition ci-dessus c’est qu’elle précise bien qu’il s’agit de théories et d’hypothèses. Pourtant chaque religion a tendance à croire ce que dit l’église et ce que disent les textes sacrés.
Pour ce qui est de la science : une théorie scientifique est une idée ou une hypothèse qui est créée pour expliquer certains phénomènes. Les théories sont basées sur l’observation et elles sont confirmées ou pas par des expériences scientifiques.
Si on laisse de côté les théories, légendes, mythes et hypothèses et si on se base uniquement sur ce qui peut être prouvé, vérifié et confirmé par l’expérience qu’est-ce qui nous reste ?
RIEN ! Oui, rien et je pèse mon mot !
Sur la question de nos origines et de notre destination, nous avons l’hypothèse d’un dieu créateur d’un côté et le simple fruit du hasard de l’évolution de l’autre.
Des tonnes de livres ont été écrits sur le sujet et c’est sans doute pourquoi on peut se mettre à croire à une hypothèse et la prendre pour vraie.
« Répétez un mensonge assez fort et assez longtemps et les gens le croiront« . Adolf Hitler
« Les gens croiront un gros mensonge plus facilement qu’un petit. Et si vous leur répétez assez souvent, ils finiront par le croire, tôt ou tard » Walter Langer (psychoanalyste)
Si on remplace le mot mensonge par théorie ou hypothèse, ça marche aussi. Newton a énoncé une théorie avec son concept de gravité, cette force qui nous empêcherait de tomber. Bien que théorique au départ cette idée avec le temps et la répétition est devenue une croyance que peu de gens aujourd’hui contestent. Sauf que la gravité n’a jamais été démontrée. La densité oui. Et la densité est suffisante en soi pour expliquer qu’un objet plus lourd que l’air tombe. Si l’objet est plus léger que l’air il s’élève du sol. Comme sous l’eau, quand je fais de la plongée et que je gonfle l’air de mon gilet, je remonte et si je le vide, je descends… Toutefois, le débat scientifique continue, Erik Verlinde, spécialiste de la théorie des cordes et professeur à l’Université d’Amsterdam est l’un des opposants de cette théorie.
Mon propos ici est simplement d’être vigilant sur les choses apprises, celles qui semblent aller de soi et que personne ne remet en cause. Avec le temps nous pouvons nous rendre compte que dans beaucoup de domaines nous avons pris des impasses en nous basant sur des hypothèses ou des suppositions erronées qui se sont transformées petit à petit en croyances solides comme du roc.
Si on considère que d’une part nous avons beaucoup de mal à reconnaître nos erreurs et d’autre part qu’il y a souvent des enjeux de pouvoir et d’argent qui alimentent, maintiennent et justifient le statut quo, on comprend mieux la situation dans laquelle nous sommes.
Et c’est pourquoi la solution citoyenne consciente est la seule qui puisse vraiment amener des changements fondamentaux dans ces structures solidifiées par des croyances et comportements obsolètes